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Compositeurs

Anton Eberl

Tous Compositions

Compositions pour: Piano

#Arrangements pour: Piano
par popularité
11 Variations on 'Ascouta Jeannette', Op.912 Variations on 'Bei Männern welche Liebe fühlen' from 'Die Zauberflöte' (12 Variations sur «sentir ce qu'est l'amour chez les hommes» de «La Flûte enchantée»)2 Sonatas for Keyboard 4-Hands, Op.7 (2 Sonates pour Clavier 4 Mains, Op.7)Concerto for 2 Pianos, Op.45In questa tomba oscura (Dans ce tombeau sombre)Piano Concerto in E-flat major, Op.40Piano Quartet in G minor, Op.25Piano Quintet in G minor, Op.41Piano Sonata in C major, Op.43Piano Sonata in C minor, Op.1Piano Sonata in G minor, Op.39Piano Sonatina in C major, Op.5Piano Trio in E-flat major, Op.36Polonoise for Piano 4-Hands, Op.19Violin Sonata in D major, Op.20

Arrangements pour: Piano

Piano Sonata in C minor, Op.1
Wikipedia
Anton Franz Josef Eberl est un compositeur et pianiste autrichien, né le 13 juin 1765 à Vienne (Autriche) et décédé le 11 mars 1807 dans la même ville.
Après des études de droit, il se consacre au piano, un instrument qu'il pratique depuis son enfance. Il devient professeur de piano et crée des Variations pour piano dont Mozart se sert lors de ses propres cours. Les deux hommes semblent très proches comme le démontre la partition autographe d'une symphonie d'Eberl de 1783 qui porte les corrections de Mozart. À sa mort en 1791, il compose la cantate funèbre Bey Mozarts Grab (La tombe de Mozart).
En 1796, il est nommé maître de chapelle et compositeur à la cour de Paul I de Russie, à Saint-Pétersbourg. Les compositions de cette période sont malheureusement perdues.
De retour à Vienne, son opéra La Reine des îles noires est un échec, mais Haydn en défend l'ouverture avec constance. Puis il crée l'une de ses symphonies les plus réussies, en mi bémol majeur op. 33, qui annonce Schubert. À la création de la 3 symphonie de Beethoven en avril 1805, c'est la symphonie en mi bémol majeur (également donnée ce jour-là) qui est préférée par le public et la critique.
Eberl meurt d'une septicémie, alors qu'il vient de composer sa dernière symphonie dédiée au tsar Alexandre I.
Même s'il est pratiquement tombé depuis dans l'oubli (jusqu'à sa redécouverte récente), il faut savoir qu'Eberl fut un très grand compositeur, unanimement considéré à son époque, comme l'égal des plus grands, comme Haydn, Mozart et Beethoven, et même souvent comparé avantageusement par rapport à ceux-ci, tant par la critique que par le public. Il était, entre autres, admiré par des compositeurs de son époque aussi brillants que Gluck et Haydn. Mais sa popularité fera que nombre de ses œuvres (comme sa Sonate pour piano op. 1) furent attribuées à tort à… Mozart. Ainsi, les variations pour piano sur Zu Steffen sprach im Traume furent publiés quatorze fois sous le nom de Mozart, et pas une seule fois sous celui de leur compositeur véritable.
(pour piano seul, sauf indication contraire)
Le Concerto Köln a, dans son style dynamique et enlevé, enregistré trois symphonies en 1999 :
Plus récemment, en août 2005, le Trio Van Bruggen - Van Hengel - Veenhoff a enregistré à la Old Catholic Church à Delft (Hollande), la Grande Sonate, la première vraie sonate écrite pour clarinette et piano forte (au lieu d'une basse continue comme c'était l'usage). Sur cette excellent enregistrement, paru récemment au second semestre 2006, chez Ramée, et qui rend justice à ce tout grand compositeur méconnu, on retrouve :
Olaf Krone (livret du disque du Concerto Köln précité).