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Pour les débutants
Compositeurs

Franz Danzi

Tous Compositions

Compositions pour: Piano

#Arrangements pour: Piano
#Parties pour: Piano
par popularité

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12 Canzonette Italiane, Op.4020 Singübungen, Op.636 Deutsche Gesänge, Op.196 Deutsche Lieder, Op.14 (6 morceaux allemands, Op.14)6 Deutsche Lieder, Op.156 Deutsche Lieder, P.181

B

Balladen und Romanzen, Op.46Basset Horn Sonata, Op.62 (Cor de Basset Sonata, Op.62)

D

Die Tonkunst traurt

F

Flute Sonatina in D major, P.257

H

Horn Sonata, Op.28 (Corne Sonata, Op.28)Horn Sonata, Op.44 (Corne Sonata, Op.44)

M

Meine Ruh ist dahin, P.178

O

O Salutaris Hostia, P.120Ode an die Freude (Ode à la joie)

P

Piano Quartet, Op.40Piano Sonata in F major, Op.3 (Sonate pour piano en fa majeur, opus 3)

Q

Quintet for Winds and Piano, Op.41 (Quintette pour vents et piano, Op.41)

S

Sicchè t'inganni, P.173Singeübungen, Op.32Sonata for Piano Four-Hands in C major, P.293Sonata for Piano Four-Hands in E-flat major, P.292

Arrangements pour: Piano

6 Deutsche Lieder, Op.15Balladen und Romanzen, Op.46

Parties pour: Piano

Basset Horn Sonata, Op.62 (Cor de Basset Sonata, Op.62)Flute Sonatina in D major, P.257Piano Quartet, Op.40Singeübungen, Op.32
Wikipedia
Franz Ignaz Danzi, né le 15 juin 1763 à Schwetzingen et mort le 13 avril 1826 à Karlsruhe, est un compositeur et chef d'orchestre allemand.
Le père de Franz Danzi, Innocenz, est musicien de la cour et premier violoncelliste de la chapelle de l’électeur palatin, alors la meilleure de l’Europe. Il donne à son fils, en même temps qu’à sa fille Franziska Dorothea Danzi (devenue également compositrice), ses premières leçons, et lui enseigna les principes de la musique, du piano et du chant.
En composition, le jeune Danzi a uniquement une éducation pratique ; il apprend cet art seulement grâce à quelques notions d’harmonie puisées dans les livres, et à la lecture des partitions des grands maîtres. Cependant il reçoit quelques leçons de l’abbé Georg Joseph Vogler, organiste et compositeur. À l’âge de douze ans, il a déjà écrit plusieurs morceaux pour le violoncelle, et ses progrès sur cet instrument sont si rapides, qu’à peine sorti de l’enfance, il est admis dans la chapelle comme membre de l’orchestre du prince de Mannheim. Il compose son premier opéra Azakia, à Mannheim. En 1778, cette chapelle ayant été transportée à Munich, Danzi s'y rend et y succède à son père comme violoncelliste. L’année suivante il écrit son premier ouvrage pour le théâtre de la cour.
Vers 1790, il épouse la fille du directeur du théâtre de Munich, Maria Margarethe Marchand. En 1791, Danzi demande et obtient un congé illimité pour voyager avec sa nouvelle épouse, cantatrice distinguée, dont le talent se développe grâce à ses leçons. Ils séjournent longtemps à Leipzig et à Prague. Danzi dirige dans ces deux villes l’orchestre de la troupe italienne de Guardatoni, et sa femme chante avec succès les rôles de Suzanne dans Le nozze di Figaro, de Caroline, dans Il matrimonio segreto, et de Nina, dans l’opéra de ce nom.
Pendant les années 1794 et 1795, il parcourt l’Italie avec sa femme, et ils s’y font remarquer pour leurs talents, particulièrement à Venise et à Florence. Le dérangement de la santé de sa femme oblige Danzi à revenir à Munich ; il y arrive en 1797, et dans la même année il obtient le titre de vice-maitre de la chapelle électorale. Lorsque Maria Danzi succombe à une maladie de poitrine en 1799, à l’âge de 32 ans, il est frappé si douloureusement de cette perte qu’il ne peut remplir ses fonctions à la cour pendant plusieurs années ; lorsqu’il lui faut ensuite diriger des opéras où sa femme a chanté, il éprouve des émotions si pénibles qu’il prend finalement la résolution de s’éloigner de Munich.
En 1807, il se rend à Stuttgart, où il est nommé maitre de chapelle du roi de Wurtemberg et superviseur des instruments à vent au conservatoire de Stuttgart ; mais les changements politiques qui surviennent dans la région l’année suivante l’obligent à aller chercher fortune ailleurs. Il va à Karlsruhe, et la cour de Bade lui accorde le même titre qu’à Stuttgart, et un traitement suffisant pour assurer son existence. Depuis lors il ne quitte plus Karlsruhe, où il finit par mourir.
Comme chef d’orchestre, il soutient l’œuvre de son ami Carl Maria von Weber, qu’il influence également comme compositeur. Par son style, on peut le considérer comme un des pionniers du romantisme. Les compositions religieuses et instrumentales de Danzi lui font la réputation d’un savant musicien en Allemagne, mais, dans ses opéras, il sacrifie souvent les convenances dramatiques à des effets d’instrumentation ou à des combinaisons harmoniques dépourvues du charme de la mélodie, alors qu’il connaît bien l’art du chant, et qu’il l’enseigne à merveille.