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Pour les débutants
Compositeurs

Guy Ropartz

Tous Compositions

Compositions pour: Piano

#Arrangements pour: Piano
par popularité

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2 Poèmes4 Mélodies4 Poèmes de l'intermezzo

A

Andante and Allegro (Andante et Allegro)

B

Berceuse

C

Cello Sonata No.1 (Sonate pour violoncelle n ° 1)Cello Sonata No.2 (Sonate pour violoncelle n ° 2)Chansons de France pour les enfantsChant d'automneChoral varié (Varié Chorale)Croquis d'automneCroquis d'été

D

Dans l'Ombre de la Montagne

I

Il pleut

J

Jeunes filles

K

Kanovenno Santel

L

La merLa routeLe douloureux mensongeLe rêve sur le sableLes heures propices

M

Musiques au jardin

N

Nocturne No.1 (No.1 Nocturne)Nocturne No.2Nocturne No.3 (No.3 Nocturne)

O

Ouverture, variations et final

P

Petites pièces pour piano à 4 mainsPiano TrioPièce for Trombone and Piano (Pièce pour trombone et piano)Pièce in B minor (Pièce en si mineur)Poème d'adieuPrès d'un ruisseau

S

Scherzo (Blague)Sonatine for Flute and Piano (Sonatine pour flûte et piano)

U

Un prélude dominical (Un prélude dominicale)

V

Veilles de départVierge sainteViolin Sonata No.1 (Sonate pour violon n ° 1)Violin Sonata No.2 (Sonate pour violon n ° 2)Violin Sonata No.3 (Sonate pour violon n ° 3)Vœu

À

À la mémoire de Paul Dukas

Arrangements pour: Piano

4 Odelettes5 Pièces BrèvesAdagio (Adage)Lamento (Lamentation)L'IndiscretPastorale et dansesRhapsodie for Cello and Orchestra (Rhapsodie pour violoncelle et orchestre)Romanza et ScherzinoScènes bretonnes, Op.24Sérénade pour instruments à archets
Wikipedia
Joseph-Guy Ropartz est un compositeur français, né à Guingamp (Côtes-du-Nord) le 15 juin 1864 et mort à Lanloup (Côtes-du-Nord) le 22 novembre 1955.
Né le 15 juin 1864, Joseph-Guy-Marie Ropartz suit la même voie que son père, Sigismond Ropartz, un avocat de Guingamp, en étudiant d'abord le droit à Rennes. Mais en parallèle de ses études au barreau de Paris, il entre en 1885 au Conservatoire de Paris dans la classe de composition de Dubois, puis de Massenet où il se lie, entre autres, avec le jeune Georges Enesco, mais qu'il délaisse dès 1886 pour celle d'orgue de César Franck. Le Chant de la cloche de Vincent d'Indy est pour lui une révélation. Ses poèmes et nouvelles inspirent les musiciens parmi lesquels Edvard Grieg.
Il est directeur du conservatoire de Nancy (à l'époque École nationale succursale du Conservatoire de Paris) de 1894 à 1919, où il crée les classes d'alto en 1894, de trompette en 1895, de harpe et d'orgue en 1897, puis de trombone en 1900. Il instaure également la saison de concerts symphoniques avec le tout jeune Orchestre du Conservatoire, ancêtre de l'Orchestre symphonique et lyrique de Nancy. Il devient membre de l'Union régionaliste bretonne en 1898.
En 1909, il est lauréat du prix Chartier de l'Académie des beaux-arts pour ses compositions de musique de chambre.
Après le décès tragique de son ami Albéric Magnard en 1914 et la perte de plusieurs manuscrits, Ropartz reconstitue de mémoire l'orchestration de son opéra Guercœur.
Il est ensuite directeur du conservatoire de Strasbourg de 1919 à 1929, assure parallèlement la direction de l'Orchestre philharmonique de Strasbourg et influence considérablement de jeunes étudiants comme Charles Munch. Élu en 1949 membre de l'Académie des beaux-arts, 5 section (composition musicale), il succède à Georges Hüe au fauteuil V.
Il prend sa retraite en 1929 et se retire dans son château de Lanloup (Côtes-d'Armor), où il continue de composer.
Le 7 juillet 1951, ses amis rassemblés au château assistent à la remise de son épée d'académicien. En 1953, atteint de cécité, il bénéficie du soutien de sa fille Gaud.
Celtique dans l'âme, Ropartz était bien le fils de ce pays « où les korrigans peuplent la lande et dansent, par les nuits lunaires autour des menhirs où les fées et les enchanteurs — Viviane et Merlin — ont pour domaine la forêt de Brocéliande, où les âmes des morts restés sans sépulture apparaissent toutes blanches au-dessus des flots de la baie des Trépassés ». Ces mots poétiques empruntés à l'auteur lui-même pour définir sa Bretagne natale définissent aussi parfaitement ses œuvres, dont l'une a précisément pour titre Le Pays. Au lendemain de la mort de Ropartz, René Dumesnil écrivait dans Le Monde : « Il y a chez Ropartz une science du folklore et de son utilisation juste qu'on admire ; mais plus souvent que l'emploi direct de motifs populaires c'est une inspiration puisée dans le terroir même qui nourrit l'œuvre, comme la sève les arbres. »
« La pensée de Ropartz a une triple source : la Bretagne, la mer, la foi religieuse. Rarement grand artiste incarna de façon plus intense l'âme de sa terre et de sa race. Toute une partie de ce qu'il a écrit pourrait porter en épigraphe le beau vers de Francis Jammes : "Tout est vain qui n'est pas le grand calme de Dieu". » Louis Kornprobst
Sa production musicale comprend une centaine d'opus.
On lui doit cinq symphonies composées entre 1894 et 1945,
Ropartz a également été un poète de talent qui a fait paraître dans sa jeunesse trois recueils de vers, influencés à la fois par l'école parnassienne et le symbolisme. En 1889 il publie avec Louis Tiercelin Le Parnasse breton contemporain, une anthologie de la poésie bretonne de la deuxième moitié du XIX siècle et il participe à la Revue L'Hermine, que Tiercelin fonde peu de temps après, en octobre 1890.