Compositeurs

François-Joseph Naderman

Harpe
Piano
Violon
Voix
Flûte
Violoncelle
Cor d'harmonie
Variation
Sonate
Duet
Romance
Étude
Nocturne
Fantaisie
Prélude
Pot-pourri
Chanson
par popularité

#

3 Duos for Harp and Piano, Op.513 Harp Sonatas, Op.153 Harp Sonatas, Op.193 Harp Sonatas, Op.273 Harp Sonatas, Op.473 Nocturnes for Harp and Horn, Op.32 (3 Nocturnes pour harpe et de la Corne, Op.32)3 Romances3 Serenades for Harp and Horn, Op.64 (3 Sérénades pour Harpe et Horn, Op.64)3 Sonatas for Harp, Violin and Cello, Op.5 (3 Sonates pour harpe, violon et violoncelle, Op.5)6 Romances6 Romances, Book 27 Etuden für Harfe7 Sonates progressives, Op.92 (7 progressistes Sonates, Op.92)

D

Divertimento in E-flat major (Divertimento en mi bémol majeur)Duo for 2 HarpsDuo for Harp and Piano in C minorDuo for Harp and Piano 'Les Regrets', Op.30 (Duo pour harpe et piano "Les Regrets", Op.30)Duo for Harp and Piano, Op.34

E

Etüden und Präludien (Etudes et Préludes)

F

Fantaisie et variations sur la romance d'Otello, Op.59Fantaisie et Variations, Op.61Fantaisie pour sur l'air 'Ô Pescator', Op.52 No.1

H

Harp Sonata, Op.12 No.1

I

Introduction and Variations on 'Pauvre Jacques'

L

Le départ

N

Nocturne and Variations for Harp and Violin (Nocturne et Variations pour harpe et violon)Nocturne for Flute and Harp

P

Pot-pouri No.2Pot-pouri No.3 and air varié

Q

Quelque gloire beaucoup d'amour

R

Recueil d'airs connus variés, Op.37Recueil d'airs variés, Op.21

S

Souvenirs de Dieppe, Op.86Suites for Harp, Op.45

T

Trio for Violin, Harp and Piano, Op.16

V

Variations on a Portuguese AirVariations on a Tyrolean AirVariations on 'Aussitôt que la lumière'Variations on 'Charmante Gabrielle'Variations on Le bon roi DagobertVariations on Le Départ du Grenadier, Op.65Variations on Partant pour la SyrieVariations on 'Plaisir d'amour' and 'Je suis Lindor'Variations on 'Sul margine d'un Rio'

É

École de la harpe, Opp.91-94Études, Traits et Exercices, Op.93
Wikipedia
François-Joseph Naderman est un compositeur, harpiste, facteur, éditeur de musique et professeur de harpe, né le 5 août 1781 à Paris où il est mort le 2 avril 1835.
François-Joseph Naderman naît à Paris, rue d'Argenteuil et est baptisé à la paroisse Saint-Roch.
Son père, Jean-Henri Naderman, luthier et compositeur de profession, est certainement à l'origine de sa vocation. Élève de Jean-Baptiste Krumpholtz, François-Joseph devient après la Révolution française un musicien reconnu ; sa notoriété se poursuit sous le Consulat, le Premier Empire et la Restauration. C'est lui qui est à l'origine de la classe de harpe au Conservatoire de musique de Paris à cette époque, son frère Henri (1783-1841) en étant professeur adjoint.
D'après Michaud, « il était très habile sur la harpe ; on lui doit en outre de jolies romances. A Paris, il produisit un effet extraordinaire dans la cérémonie funèbre en l'honneur de Washington célébrée au temple de Mars (Invalides) en 1801. Il y dirigea douze harpes, soutenues par des cors et des voix éclatantes. Il était associé à son frère pour la fabrication des harpes. »
Les frères Naderman sont les inventeurs de la harpe « mécanique à sabots ». À la mort de leur père, ils reprennent avec leur mère, Barbe-Rose Courtois (1755-1839), le magasin de musique ouvert par celui-ci rue de la Loi afin de commercialiser leurs instruments et partitions musicales.
Dans La Maison mortuaire de Molière, Auguste Vitu écrit :
« Barbe-Rose Courtois, veuve de Jean-Henri Nadermann, fut, de 1805 à 1831, locataire d'une partie de cette maison, où elle tenait un magasin de musique et de harpes fabriquées par ses fils, les célèbres facteurs et virtuoses François-Joseph et Henri Nadermann, qui furent l'un et l'autre harpistes de la musique du Roi et professeurs au Conservatoire. Avant de venir prendre rue Richelieu le local laissé disponible par la transplantation du café de Foix sous les arcades du Palais-Royal, la maison Nadermann était établie rue d'Argenteuil, à la butte Saint-Roch. »
François-Joseph meurt en 1835 et est inhumé au cimetière Montmartre, 31 division (partie haute), aux côtés de son épouse Anne-Charlotte Mayer (morte en 1832), sa mère et sa fille Anne (1822–1843).
La famille possédait une propriété à Montfort-l'Amaury.
Nägeli (Zurich, 1792–1836)