Gustav Düben
Fader wår (Fader guerre)Alles Leben dieser Erde (Toute vie sur terre)Alt vad i Sverige bor det stämme med oss in (Alt vad i Sverige Bor det Stamme med oss dans)Wie bist du Davids Sohn (Comment allez-vous, fils de David)Välkommen käraste nuDu runda himlavalv låt nu ditt silver (Du runda himlavalv låt nu ditt argent)Heut freut sich der Himmel (Aujourd'hui serait le ciel)Nun so ist es denn geschehen (Maintenant, il est arrivé)Sinfonia in C major (Sinfonia en do majeur)WikipediaVous pouvez partager vos connaissances en l’améliorant (comment ?). Pour plus d’informations, voyez le projet musique classique.
Gustav Düben (né en 1628 à Stockholm, mort le 19 décembre 1690 à Stockholm), est un organiste et compositeur suédois.
Gustav Düben est le fils d'
Andreas Düben, un allemand de la région de Leipzig et un élève de
Sweelinck. Il effectue ses études en Allemagne, dans les années 1640. Il entre à la chapelle royale en 1647 et en 1663, il succède à son père en tant que maître de chapelle de l'orchestre royal de Suède et comme organiste de l'église allemande Sainte-Gertrude de Stockholm.
Entretenant des relations suivies avec les plus éminents musiciens d'Europe du nord, dont
Dietrich Buxtehude, Gustav Düben laisse environ 2 300 copies musicales (partition ou tablatures), complétée jusqu'en 1726 par l'un de ses fils, Anders von Düben (1673–1738). Cette collection Düben, aujourd'hui conservée à la bibliothèque d'Uppsala, est l'une des sources les plus riches de la musique de la fin du XVII siècle et du début du XVIII siècle.
La collection (Dübensamlingen) comporte 34 œuvres attribuées à Düben. L'origine des pièces est suédoise, allemande, ainsi que de Pologne et des Pays baltes ; mais également un répertoire international de musique française, italienne et anglaise.
Entre autres citons : l'intégralité des œuvres connues (39 vocales et 8 instrumentales) de Kaspar Förster (1616–1673) ;
Giuseppe Peranda (1626–1675) ;
Johann Melchior Gletle (1626–1683) ;
Sisto Reina (c.1623–1664) ;
Johann Wilhelm Furchheim dont presque toutes les œuvres ont disparu. L'un des plus précieux cahiers est l’exemplaire unique en tablatures des
Membra Jesu nostri, dédicacé à Düben par Buxtehude et qui est recopié en notation italienne par Düben.