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Compositeurs

Concerto pour violon de Brahms

Compositeur: Brahms Johannes

Instruments: Violon Orchestre

Tags: Concerto

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Parties pour:

Orchestre
TousClarinette

Arrangements:

Autre

Complete. Piano + Violon (Unknown)Complete. Piano + Violon (Adolf Busch)Complete. Piano + Violon (Unknown)Complete. Piano (Paul Klengel)Cadenzas. Joachim. (Joseph Joachim)Cadenzas. Auer (1916). (Leopold Auer)Cadenzas. Aulin. (Tor Aulin)Cadenzas. Bezekirsky. (Wassili Wassiljewitsch Besekirski)Cadenzas. Górski. (Górski, Władysław)Cadenzas. Halir. (Karel Halíř)2. Adagio. Flûte à bec + Clavier (Paul-Gustav Feller)Complete. Piano + Violon (Unknown)Cadenzas. Déjardin. (Déjardin, Renaud)Cadenzas. Marteau. (Henri Marteau)Cadenzas. Shute. (Shute, Benjamin)Cadenzas. Bachmann. (Bachmann, Alberto)Cadenzas. Schradieck. (Henry Schradieck)Cadenzas. Zajíc. (Florián Zajíc)Cadenzas. Winkler. (Julius Winkler)
Wikipedia
Le Concerto pour violon en ré majeur, op. 77 est une des œuvres du compositeur allemand Johannes Brahms. Pièce majeure du répertoire romantique allemand pour l'instrument, avec celui de Felix Mendelssohn, sa partie de soliste très virtuose, jugée à l'époque presque injouable, donna lieu à des remaniements de la part de son auteur. Réputé de nos jours pour être l'un des concertos pour violon les plus difficiles, il a en effet été conçu par Brahms pour et avec son ami virtuose Joseph Joachim. En quatre mouvements à l'origine (le scherzo lui étant prévu ayant été supprimé pour être réutilisé dans le deuxième concerto pour piano), sa richesse mélodique et sa splendeur orchestrale l'ont élevé au rang des hauts chefs-d'œuvre de la musique viennoise du XIX siècle. Servi par les plus grands interprètes, de Bronislaw Huberman, qui le joua à 14 ans devant le compositeur, à Jascha Heifetz, en passant par Christian Ferras, Itzhac Perlman, ou Anne-Sophie Mutter, sa riche discographie témoigne de l'immense popularité dont il jouit dans le monde entier.
Commencée en 1877, l'œuvre est achevée durant l'été 1878. Composé pour Joseph Joachim, qui a contribué à la genèse de la pièce, le concerto est créé par celui-ci le 1 janvier 1879 à Leipzig, accompagné par l'orchestre du Gewandhaus de Leipzig sous la direction du compositeur. Il suit la forme classique du concerto pour violon, avec deux mouvements rapides encadrant un mouvement lent (aussi connu comme vif lent vif). Le Second concerto pour piano de Brahms (également composé en 1878) compte quatre mouvements et s'écarte, lui, de cette forme. Cependant, Brahms avait à l'origine prévu pour son concerto pour violon un quatrième mouvement (un scherzo). Son pendant reste le Concerto pour violon de Ludwig van Beethoven, également en ré majeur.
Ce concerto fut abondamment critiqué, notamment par Claude Debussy qui le traite de « rocaillerie » et de « monopole de l'ennui », par Gabriel Fauré ou par Édouard Lalo. L'œuvre est particulièrement difficile pour le soliste : lors de sa création, le chef d'orchestre Hans von Bülow l'a qualifié de concerto contre le violon. L'exécution de l'œuvre nécessite environ quarante minutes. La partition originale, acquise par Fritz Kreisler, est conservée à la bibliothèque du Congrès aux États-Unis.
violoncelles et contrebasses
2 clarinettes en la et 2 bassons
2 trompettes en ré
L'orchestre commence tout d'abord par introduire deux des trois thèmes principaux dans une première et longue exposition. Puis une cadence introduit le soliste, qui intervient ensuite dans une nouvelle exposition et reprend des thèmes qu'il s’appropriera (tout en y ajoutant sa fougue et sa virtuosité). L'orchestre n’interrompra jamais la « coulée lyrique » du violon. Stylistiquement, l'œuvre se rapproche des concertos de Mozart et du concerto de Beethoven. Brahms réserve au soliste une cadence avant la reprise. Celle-ci n'est pas de sa main et est laissée à l'interprète qui peut choisir entre celles Joachim, Reger, Kreisler ou d'autres.
Il débute par un prélude où seuls les vents jouent, et où le hautbois expose le thème qui sera ensuite repris par le soliste (Pablo de Sarasate avait d'ailleurs refusé de jouer ce concerto en public, considérant absurde la longueur du thème confié au hautbois dans un concerto pour violon). Le violon s'inscrit dans ce mouvement en le magnifiant, mais le dramatisant parfois. La fin se veut en état d'apesanteur, d'immatérialité douce et sereine.
Il débute par un thème en tierces au violon seul qui sont ensuite reprises puis développées par l'orchestre. Brahms se sert abondamment de la musique hongroise (en fait tzigane) pour créer dans ce mouvement une atmosphère de fête et de joie.