Ténor Solo
Ténor + ...
Pour les débutants
Compositeurs

Requiem

Compositeur: Berlioz Hector

Instruments: Voix Ténor Mixed chorus Brass ensemble Orchestre

Tags: Requiem Funeral music Musique religieuse Messe

#Parties
#Arrangements

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Complete Score PDF 53 MB
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Complete Score PDF 17 MB
Complete Score PDF 62 MB
I. Requiem et Kyrie. Introït PDF 1 MBII. Dies iræ. Prose – Tuba mirum PDF 2 MBIII. Quid sum miser PDF 0 MBIV. Rex tremendae PDF 1 MBV. Quærens me PDF 0 MBVI. Lacrimosa PDF 2 MBVII. Offertoire. Chœur des âmes du purgatoire PDF 1 MBVIII. Hostias PDF 0 MBIX. Sanctus PDF 1 MBX. Agnus Dei PDF 1 MB

Parties pour:

Ténor
TousVioloncelleViolonTromboneTimbalesOrchestreHautboisFlûteCornet à pistonsCor d'harmonieClarinetteBassonAlto

Arrangements:

Autre

Quaerens Me (No.5). Alto(6) (Bridson, Robert Edward)Quaerens Me (No.5). Cor d'harmonie + Mixed chorus (Adrian G. Horn)
Wikipedia
Le Requiem ou plus exactement la Grande Messe des morts (opus 5) H. 75, d'Hector Berlioz (1803–1869) a été composé en 1837. Cette partition est l'une des œuvres les plus connues du musicien en raison de son énorme effectif orchestral de bois et de cuivres comprenant quatre ensembles de cuivres antiphoniques placés dans les coins de la scène. L’œuvre dure environ 90 minutes et tire son texte de la messe latine traditionnelle de Requiem.
Adrien de Gasparin, ministre de l’Intérieur français, voulait remettre au goût la musique religieuse. Il décida donc de financer chaque année un compositeur pour l’écriture d’une messe ou d’un oratoire de grande dimension. Le ministre commença en 1837 avec Berlioz en lui demandant de composer une messe de Requiem en mémoire des soldats de la Révolution de juillet 1830.
Berlioz, voulant composer une œuvre avec une grande orchestration, a accepté avec joie cette demande : « Le texte du Requiem était pour moi une proie dès longtemps convoitée, qu’on me livrait enfin, et sur laquelle je me jetai avec une sorte de fureur ».
La représentation initialement prévue pour la commémoration de la révolution de 1830 fut annulée et la première eut finalement lieu lors d’un service funèbre pour les soldats morts lors de la prise de Constantine. Berlioz avait pour habitude de diriger ses œuvres mais on lui imposa de prendre François-Antoine Habeneck, avec qui il était brouillé, comme chef d’orchestre.
La première, qui obtint un grand succès, fut donc dirigée par Habeneck le 5 décembre 1837 dans l’Église des Invalides pour les obsèques du général Charles-Marie Denys de Damrémont. Selon les Mémoires de Berlioz, à l’arrivée d’un moment critique du Tuba mirum, « Habeneck baisse son bâton, tire tranquillement sa tabatière et se met à prendre une prise de tabac » ; Berlioz se rua sur le podium pour diriger l'orchestre, sauvant ainsi le concert d’un désastre. Cette anecdote est jugée peu crédible par divers critiques. Il s'agit toutefois de commentateurs qui n'étaient pas des contemporains de Berlioz et n'avaient pas assisté au concert. En effet des témoins d'époque ont attesté l'incident : Charles Hallé et Eugène de Mirecourt. Il y aurait aussi le témoignage de Julien Tiersot, l'un des plus sérieux biographes de Berlioz au début du XX siècle. David Cairns ne conteste d'ailleurs pas l'incident lorsqu'il dit : « incident attesté par des témoins indépendants » et il ajoute en note : « Je spécule en situant l'incident à la répétition générale publique plutôt qu'à la cérémonie elle-même, car je suppose qu'un musicien relativement peu connu comme Hallé aurait plutôt assisté à la générale qu'à cette grandiose manifestation, parmi tous ces hauts personnages ».
Berlioz a dédié son Requiem à Gasparin. Il le plaçait au premier rang de toutes ses œuvres et a écrit : « Si j’étais menacé de voir brûler mon œuvre entier, moins une partition, c’est pour la Messe des morts que je demanderais grâce ».
Au sujet du nombre de musiciens et de chanteurs, Berlioz a écrit sur la partition que « ce nombre est relatif et si possible, si la place le permet, il faut doubler ou tripler le nombre de voix et augmenter le nombre d’instruments dans les mêmes proportions ».
La messe fut interprétée par 440 musiciens et chanteurs lors de sa création.
Il y a dix mouvements dans ce Requiem :
Curieusement il y a 603 barres de mesure dans les cinq premiers mouvements et autant dans les quatre derniers. Les premier et quatrième mouvements sont à 34. Le sixième mouvement, Lacrimosa, est à 98 et a 201 mesures, le tiers de 603. Ces proportions, voulues ou non, donnent un état d’équilibre et de stabilité.
Alfred de Vigny, dans son Journal d'un poète en date du 5 décembre 1837 déclare : la musique « est belle et bizarre, sauvage, convulsive et douloureuse. »
Parmi la presse, plusieurs dizaines de journaux rendirent compte de la soirée et seuls deux ou trois articles furent hostiles. Encore faut-il souligner que leurs auteurs n'avaient probablement pas assisté au concert, car ils donnèrent des informations fausses. Le bibliothécaire du Conservatoire, Bottée de Toulmon – spécialiste de musique médiévale –, écrivit un article dans la Gazette musicale pour reconnaître les innovations du musicien.
Le journaliste Christophe Deshoulières, collaborateur du magazine Diapason, écrit : « Le Requiem de Berlioz est une méditation intime sur le néant mise en perspective avec des moyens gigantesques. [...] Seuls Brahms et Mahler l'égaleront par la suite ».
report CD 2017
Wiener Staatsopernchor
Orfeo 1997
Hamburger Kölner Rundfunk-Sinfonie-Chor
Andromeda 2008
Orchestre du Théâtre national de l'Opéra de Paris
Réédité en stéréo d'après les bandes originales par Tahra en 2006
report Cascavelle 2019
BSO
Philadelphia Orchestra
The University of Utha Civic Chorale
The University of Utha A Capella Choir
Leningrad Philarmonic Orchestra
City of Birmingham Symphony Chorus
Warner 2019
Chor Der Württembergischen Staatstheater Stuttgart, Sündfunk-Chor Stuttgart
Radio-Sinfonieorchester Stuttgart
66.28050
Kölner Rundfunk-Sinfonie-Orchester
Choeur français d'oratorio
Choeur Philharmonique de Prague & Choeur de la Philharmonie slovaque
Rundfunkchor Berlin
Berliner Sinfonie-Orchestra
Toronto Mendelssohn Youth Choir
Elora Festival Orchestra
Vokalensemble Stuttgart
MDR Rundfunkchor Leipzig
EuropachoirAkademie
ORF Radio Symphonie Orchester Wien
Wroclaw Philharmonic Choir and Orchestra
Virginia Symphony Orchestra Chorus
The Choral Arts Society of Whashington
Seattle Pro Musica
Philarmonia Chorus
London Philharmonic Choir
« Aucune relation contemporaine, aucune des lettres du compositeur lui-même écrites au lendemain de l'exécution du Réquiem, n'autorise à ajouter foi. »
« Eh bien, encore une fois, tout cela est inventé. Car sur l'instant, Berlioz écrivant à son fidèle ami, Humbert Ferrand, ne fait aucune mention du coup de théâtre. »