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Compositeurs

Sonate pour violon et piano no 9 de Beethoven

Compositeur: Beethoven Ludwig van

Instruments: Violon Piano

Tags: Sonate

#Arrangements

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Piano Part (segment 1) PDF 44 MBPiano Part (segment 2) PDF 51 MBPiano Part (segment 3) PDF 48 MBViolin Part PDF 61 MB
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Complete Score PDF 13 MBViolin Part PDF 3 MBColor Cover PDF 0 MB
Complete Parts PDF 7 MBPiano Part PDF 5 MBViolin Part PDF 1 MB
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Arrangements:

Violon + ...

Complete. Violoncelle(2) + Alto + Violon(2) (Unknown)

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Complete. Violoncelle + Piano (Auguste-Joseph Franchomme)Complete. Violoncelle + Piano (Carl Czerny)Complete. Piano (Leopold Godowsky)Complete. Piano (Louis Winkler)Adagio sostenuto — Presto. Orchestre (Piotr Ilitch Tchaïkovski)Complete. Piano(2) (Langer, Leopold)Andante con variazioni. Guitare (Francisco Tárrega)Andante con variazioni. Organ (André, Julius)Complete. Piano à quatre mains (Hugo Ulrich)Andante con variazioni. Piano à quatre mains (Renaud de Vilbac)Complete. Piano (Carl Czerny)
Wikipedia
La Sonate pour piano et violon n 9 en la majeur de Ludwig van Beethoven, op. 47, est une sonate pour piano et violon en trois mouvements composée entre 1802 et 1803 et publiée en 1805 avec une dédicace au violoniste français Rodolphe Kreutzer, d'où sa fameuse appellation de Sonate à Kreutzer.
Il s'agit de la plus célèbre sonate pour piano et violon de Beethoven. C'est aussi la plus longue (40 minutes environ) et la plus difficile dans sa partie violonistique.
La Sonate pour piano et violon n 9 est une œuvre de la seconde période créatrice de Beethoven. Sa composition fut contemporaine de celle de la Symphonie Héroïque.
Selon toute vraisemblance la sonate était d'abord dédiée au violoniste George Bridgetower (1778–1860), qui avait créé l'œuvre à Vienne (Autriche) avec Beethoven au piano le 24 mai 1803. Mais à la suite d'une querelle, Beethoven aurait changé la dédicace qui serait finalement allée à Kreutzer, que le compositeur avait connu en 1798 à l'ambassade de France et qu'il tenait en très haute estime. Comble de l'ironie, Kreutzer refusa toujours de jouer la sonate qu'il considérait « inintelligible » pour le public.
L'accueil des critiques fut très réservé, l’Allgemeine musikalische Zeitung considérant que Beethoven y avait « poussé le souci de l'originalité jusqu'au grotesque » et qu'il se montrait adepte d'un « terrorisme artistique ». Il s'agit aujourd'hui d'une des sonates pour violon les plus populaires et les plus jouées du répertoire.
L'œuvre se compose de trois mouvements :
Le premier mouvement est introduit adagio dans le ton de la majeur par le violon. Après l'entrée du piano et un passage en mineur commence un presto véhément, charpente de ce mouvement qui se termine sur une coda énergique après un bref rappel du thème de l'adagio.
Le contraste est saisissant avec la douceur du second mouvement, superbes et amples variations dans le ton de fa majeur.
Le calme est soudain rompu par l'entrée du troisième mouvement, morceau virtuose et exubérant en forme de tarentelle, composé à l'origine pour la Sonate pour violon et piano op.30 n 1 et qui s'achève dans une course effrénée, comme par épuisement des deux instruments.
Rares sont les sonates en duo où la dualité des instruments est autant mise en relief : le compositeur déclarait avoir écrit cette sonate dans le style d'un concerto et Chantavoine décrivit le premier et le troisième mouvements comme « un véritable corps à corps des deux instruments ».
La version historique enregistrée par Alfred Cortot et Jacques Thibaud en 1929, ainsi que celle par Clara Haskil et Arthur Grumiaux en 1957 font toujours figure de référence. Mais parmi de nombreuses autres grandes versions, il ne faut pas omettre celle de Wilhelm Kempff et Yehudi Menuhin en 1970 (DG), les différents enregistrements par Nathan Milstein ou encore David Oïstrakh. Plus récemment, l'enregistrement de cette œuvre par Martha Argerich au piano et Gidon Kremer au violon chez DG en 1995 a reçu les louanges de la critique.
Cette transcription pour deux violons, alto et deux violoncelles, qui est de Beethoven lui-même, mériterait d'être plus connue.