Trompette Solo
Trompette + ...
Pour les débutants
Compositeurs

Messe n° 2

Compositeur: Bruckner Anton

Instruments: Mixed chorus Hautbois Clarinette Basson Cor d'harmonie Trompette Trombone

Tags: Messe Musique religieuse

#Parties

Télécharger des partitions gratuites:

Second Version (1882). Complete Score PDF 9 MBSecond Version (1882). Complete Score PDF 4 MB
Revised Version (1882). Complete Score PDF 3 MBRevised Version (1882). Complete Score PDF 2 MB
Revised Version (1882). Complete Score (Organ reduction) PDF 5 MB
Second Version (1882). Complete Score PDF 1 MB
Original Version (1866). Segment 1 PDF 49 MBOriginal Version (1866). Segment 2 PDF 53 MBOriginal Version (1866). Segment 3 PDF 51 MBOriginal Version (1866). Segment 4 PDF 53 MB
Second Version (1882). Complete Score (160dpi) PDF 48 MBSecond Version (1882). Segment 1 (300dpi) PDF 57 MBSecond Version (1882). Segment 2 (300dpi) PDF 58 MBSecond Version (1882). Segment 3 (300dpi) PDF 63 MB
Second Version (1882). Complete Score (black and white) PDF 6 MBSecond Version (1882). Complete Score (Color) PDF 50 MB
Original Version (1866). Segment 1 PDF 60 MBOriginal Version (1866). Segment 2 PDF 59 MBOriginal Version (1866). Segment 3 PDF 60 MBOriginal Version (1866). Segment 4 PDF 59 MB
Second Version (1882). Complete Score PDF 7 MB
Intermediate Version (1869). Complete Score (160dpi) PDF 41 MB
Second Version (1882). Segment 1 PDF 58 MBSecond Version (1882). Segment 2 PDF 61 MBSecond Version (1882). Segment 3 PDF 62 MB
Second Version (1882). Complete Score PDF 5 MB
Original Version (1866). Complete Score PDF 3 MB

Parties pour:

Trompette
TousTrompetteTromboneSaxophone altoHautboisCor d'harmonieClarinetteBasson
Wikipedia
La Messe n ° 2 en mi mineur, WAB 27, d'Anton Bruckner est une messe pour chœur mixte à huit voix et instruments à vent.
L'évêque de Linz, Franz-Josef Rudigier, qui avait précédemment commandé à Bruckner une cantate festive en 1862 pour célébrer la pose de la première pierre de la nouvelle cathédrale, le Mariä-Empfängnis-Dom, lui demanda en 1866 de composer une messe pour célébrer l'achèvement de la construction de sa Chapelle votive. En raison du retard dans l'achèvement de la construction, la célébration de la dédicace n'eut finalement lieu que trois ans plus tard, le 29 septembre 1869 sur la Neuer Domplatz. Y participèrent la Liedertafel Frohsinn, les Sängerbund et Musikverein de Linz, et l'harmonie du régiment d'infanterie impérial 'Ernst Ludwig, Großherzog von Hessen und bei Rhein Nr. 14'. Le manuscrit et la partition dédicacée sont archivés à l'épisopat de Linz.
Bruckner soumit l'œuvre à une profonde révision en 1869, 1876 et 1882. La deuxième version de 1882 a été exécutée le 4 octobre 1885, à l'ancienne cathédrale de Linz par la Liedertafel Frohsinn, les Sängerbund et Musikverein de Linz sous la baguette d'Adalbert Schreyer.
La deuxième version est légèrement – 26 mesures – plus longue (753 au lieu de 727 mesures). Les différences entre les deux versions concernent tant le phrasé que l'accompagnement, surtout au cours du Credo et du Benedictus. Comme pour les symphonies, la première version constitue le matériau brut et apparaït moins polissée que la version ultérieure, principalement au cours des transitions orchestrales. Les quelque 150 différences entre les deux versions sont décrites en détail à la fin de la partition de la version 1882.
L'œuvre est conçue pour chœur mixte à huit voix et instruments à vent (2 hautbois, 2 clarinettes, 2 bassons, 4 cors, 2 trompettes et 3 trombones)
L'œuvre est basée fortement sur la tradition de l'ancienne musique d'église, et particulièrement sur le style du chant grégorien. Le Kyrie est presque entièrement composé d'un chant à huit voix a cappella. Le Gloria se termine par une fugue, comme dans les autres messes de Bruckner. Dans le Sanctus, Bruckner utilise un thème de la Missa Brevis de Palestrina.
Selon la pratique catholique – comme aussi dans les précédentes Messe für den Gründonnerstag, Missa solemnis et Messe n° 1 – l'introduction du Gloria et du Credo n'est pas composée et doit être entonnée par le prêtre en mode grégorien avant la poursuite de l'exécution par le chœur.
La composition est en six parties :
Durée totale : environ 40 minutes
Bruckner avait été précédemment critiqué pour avoir "simplement écrit des symphonies avec un texte liturgique", et bien que les Céciliéns n'étaient pas tout à fait d'accord avec l'inclusion d'instruments à vent, Franz Xaver Witt l'avait aimée, la rationalisation de l'utilisation des instruments à vent étant sans aucun doute nécessaire au vu des circonstances d'exécution en plein air pour laquelle Bruckner avait composé l'œuvre."
Die e-Moll-Messe … stellt in der gesamten Kirchenmusik des 19. und auch des 20. Jahrhunderts eine einmalige Erscheinung dar. … Während Bischof Rudigier den Grundstein zu einem Dom legte, begann Bruckner ebenfalls einen Dom zu errichten, einen musikalischen Dom.Traduction : La Messe en mi mineur ... est une composition sans parallèle dans la musique d'église des 19 et 20 siècles. ... Tandis que l'évêque Rudigier posait la première pierre d'une cathédrale, Bruckner commençait aussi à construire une cathédrale, une cathédrale musicale.
Il n'existe qu'un enregistrement par une école de musique :
Une exécution en concert par Hans-Christoph Rademann avec le RIAS Chor (23 juin 2013) est sauvée dans la Bruckner archive (CD - Charter Oak COR-1904).
Environ 100 enregistrements de la Messe n 2 de Bruckner ont été édités. Le premier enregistrement a été réalisé par Hermann Odermatt avec le Gregorius-Chor et l'Orchester der Liebfrauenkirche, Zürich, en 1930 (78 tr/min Christschall 37-41).
Parmi les enregistrements de l'époque du microsillon, celui d'Eugen Jochum avec le Chœur et l'Orchestre Symphonique de la Radio Bavaroise sur le label Deutsche Grammophon a été regravé sur CD. L'enregistrement de Matthew Best avec les Corydon Singers a été acclamé par la critique. D'autres excellents enregistrements sont, selon Hans Roelofs, entre autres ceux de Roger Norrington, Hellmut Wormsbächer, Philippe Herreweghe, Simon Halsey, Frieder Bernius, Ingemar Månsson, Helmuth Rilling, Marcus Creed, Winfried Toll et Otto Kargl.